• Je t'avais donné mon cœur, et sur le moment c'était vraiment tout ce que j'avais, c'était la seule chose que je pouvais te donner.

    Je suis désolée.
    J'étais jeune et conne.
    Et je n'avais pas réfléchi.
    Je t'ai fait mal.
    Mais je ne le voyais pas.
    Pour moi c'était seulement éphémère.
    Comme je regrette.
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Maintenant, j'y réfléchirais à deux fois avant d'aimer sans compter.
    A deux fois avant de placer un unique homme au dessus de tout.
    Et de toutes façons, non, il ne faut pas.
    <o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p>J'ai regardé le ciel.
    Et j'ai décidé de ne pas l'aimer.
    Même si il y'avait le petit pincement au cœur.
    <o:p> </o:p>Je sais à présent que je suis maîtresse de tout.

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  • .

    J'ai menti.

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  • On s'embrasse, on oublie tout mon amour.

    Pix : Ensemble, c'est tout.


    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p>On prend (presque) les mêmes et on recommence.
    <o:p> </o:p>C'est toute une vie, chamboulée, toute une vie.
    C'est la mienne. Et pas une autre.
    <o:p> </o:p>Après tout, tu l'avais dit...
    Je devais me faire une raison.

    <o:p> </o:p>La seule que j'ai trouvée fait que je pense de toi le plus grand mal.
    Ce qui m'empêche d'avoir de la peine, que ce soit pour toi ou pour moi.

    <o:p> </o:p>Je t'ai balayé, bien vite.
    J'ai arrêté de t'aimer, bien vite.
    Et ça, ça me fait de la peine.
    Tu ne m'as même pas laissé le temps.

    De me faire à l'idée, de cicatriser correctement.
    <o:p> </o:p>Tu m'as tout prit. Et t'es parti.

    J'étais seule, j'étais mal. Une fois de plus en milles morceaux à cause de toi.
    Je n'ai trouvé personne qui vaille le coup, je n'ai trouvé personne pour m'aider à recoller les morceaux. J'étais toute seule. Infiniment seule.

    <o:p> </o:p>C'est seule que j'ai réappris la confiance que tu avais brisée, avec elle.
    C'est seule que j'ai réappris à redonner tout ce que tu avais prit sans retour.
    C'est seule que j'ai réappris à rire, de ces riens que tu réprimandais sans cesse.
    <o:p> </o:p>

    C'est seule et toujours aussi seule, mais entière qu'aujourd'hui je vais me permettre de te dire.
    Que je ne te pardonnerais pas cette fois ci.
    Comme un dur mois d'Aout, je te répeterais que j'ai eu trop mal et que tu as attendu trop longtemps.


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